Il n’y a pas de fin heureuse.
Voir la beauté de cela.
Karl Renz
Pas de fin heureuse car de fin, il n’y en a pas.
Pas plus que de début.
Parce de temps, il n’y en a pas.
Et pourtant la bonne heure, c’est maintenant.
Un Maintenant sans contours ni espace, sans temporalité.
Un Maintenant ou jamais.
Qui, parce qu’il est insaisissable, est saisissant.
In-envisagé, inenvisageable.
Inconcevable, inconnaissable.
Et c’est dans cet Inconnaissable que se trouve le bonheur.
Quand je ne cherche plus à décrire, définir, circonscrire.
Quand les mots me manquent,
Quand la pensée s’arrête, à court d’idées.
Que les étiquettes ne savent plus où se poser.
Que rien d’autre que Ce qui est, n’est désiré.
Alors s’élève et se révèle la Beauté.
L’unité, l’unicité de l’instant.
Non reproductible.
Plus de point de comparaison.
Plus rien, alors, ne ressemble à rien,
Et plus rien ne s’y oppose.
Reste le point 0 qui n’est pas final.
Un non temps qui s’écoule en spirale.
Toujours Ouvert.